Auteurs :Boris Palameta
Hypothèse implicite selon laquelle les connaissances conduisent à de bonnes pratiques. Les interventions en matière d’éducation financière sont le plus souvent axées sur l’amélioration des connaissances, mais le simple fait d’acquérir des connaissances ne signifie pas qu’elles seront utilisées efficacement. Les interventions conçues pour améliorer les connaissances financières ont peu d’incidence sur les résultats financiers. Les gens ont souvent de bonnes intentions, mais ils n’adoptent pas le comportement souhaité. Biais cognitif : erreurs systématiques dans la prise de décision. Les gens peuvent se comporter contrairement à leurs connaissances et à leurs intentions (problèmes de maîtrise de soi). Par exemple, la distorsion du présent, qui est liée de façon empirique à une plus grande accumulation de dettes, à une diminution de la probabilité d’épargner et, parmi les gens qui épargnent, à des délais plus longs avant de commencer à épargner et à des niveaux d’épargne plus faibles.
Présentation disponible en anglais seulement.
Publié : novembre 2015
Service : Économie comportementale
Domaine de politique : Apprentissage des adultes - Alphabétisation financière, Sécurité sociale - Sécurité du revenu pour les aînés
Population visée : Ensemble de la population - Travailleurs peu qualifiés
Type : Dossier de présentation
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